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Dans l'infiniment petit, l'œil se dévoile,
Vaisseaux et retine, en douce toile.
Toiles sanguines, cartographie intérieure,
Chaque détail, une étoile d'aventure.
La retine, écran où se peint la vision,
Réceptacle des ombres, des éclats en fusion.
Photographies intimes, dans l'ombre révélées,
Vaisseaux et rétine, en harmonie tissées.
Vaisseaux sinueux, rivières de l'instant,
Dans le labyrinthe de l'œil, vibrant.
Silhouettes fragiles, ballet infiniment petit,
Toile de la vision, où l'art se construit.
Chaque battement, pulsation du regard,
Sur la rétine, l'histoire se dessine en égard.
Pixels de lumière, éclats de réalité,
Vaisseaux et retine, la beauté dévoilée.
Dans l'infinitésimal, l'œil est poésie,
Vaisseaux et retine, l'invisible en symphonie.
Les étoiles du regard, dans le firmament,
Chantent la splendeur de l'infiniment.